Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

boujaad

Publicité
Archives
1 décembre 2006

Compte rendu L’institut supérieur de

Compte rendu

L’institut supérieur de l’information et de la communication a abrité jeudi 30 nov 2006 à 15h00, une conférence sur le thème : le journalisme : des opportunités de carrières internationales.

Ladite conférence, qui a été animée par m. Abdellatif KABBAJ ex-chargé des accréditations et des relations avec les médias à l’ONU, a eu lieu en présence notamment de m. ASLOUN, directeur des études à l’institut, M. SAMI, professeur de la presse écrite à l’institut, M.ISSARI, professeur de la communication à l’institut, ainsi que la présence aussi bien des intéressantes que des intéressants.

Le conférencier a précisé lors de son intervention, qui a duré presque deux heures, que le journalisme n’est pas fait pour critiquer  ou chercher de l’information seulement mais outrepasse cette fonction, d’avoir de larges horizons pour animer le débat mondial au sein des organisation internationales. De ce fait le journaliste selon l’intervenant est appelé à travailler jour et nuit et de s’armer de la volonté, de l’honnêteté et surtout avoir un aspect constructif afin d’accumuler de l’expérience qui lui permettra d’accéder aux différents organisme internationaux qui sont très exigeants desdites valeurs.

Toutefois, le conférencier a beaucoup parlé de sa carrière, son parcours professionnel est riche en évènements, en responsabilités et même des aventures ; d’un simple journaliste à la RTM pas à pas jusqu’au porte parole de l’ONU.

Une carrière qui a duré plus de trente ans au service du journalisme, surtout son expérience en Amérique au siège de l’ONU (16 ans), et pendant la deuxième guerre du golf où il a resté quatre ans en koweit et en Irak comme porte parole de l’ONU.

M.KABBAJ a vécu pleine, voire drôle de choses notamment, il amis hors d’état de nuire des terroristes déguisés en journalistes qui sont venus pour liquider le président iranien M.KHATAMI, lors de son intervention au siège de l’ONU, en refusant de les signer des accréditations, c’est en collaboration avec FBI qu’il a pu neutraliser lesdits malfrats.

En relatant sa carrière qui était le point de départ de la conférence jusqu’à la fin, le conférencier n’hésitait pas à donner quelques conseils pour les journalistes ; en effet, vu son importance de rapporter les faits, le journaliste selon M KABBAJ, devrait apporter des solutions pour traiter un fait quelconque, et non seulement le critiquer.

Autrement dit, le journalisme, d’après la même source, ne peut valoir être manipulé et exploité qu’en fonction de divers paramètres à savoir : la crédibilité et la coopération avec les confrères loin du fanatisme « soyez constructif pour traiter un problème, vous êtes journalistes pour la vie »

Ensuite, M. KABBAJ a encouragé les jeunes journalistes de travailler sans compter sur le gouvernement de leur trouver des postes ; une opinion qui a suscité M.ASLOUN pour intervenir « il n’y a pas de chômeurs parmi nous »                                   Le conférencier a pris cette intervention avec diplomatie remarquable en abordant un autre point, qui s’agissait de la liberté de l’expression au Maroc, qui est selon lui, un bon exemple avec la chaîne d’AL JAZZERA dans le monde arabe.

Au terme de la conférence, M.KABBAJ a répondu aux question posées par les étudiants de l’institut ; entre autres, une question posée par un gendarme journaliste sur les difficultés et les contraintes rencontrées par les journalistes à l’ONU ; de sa part, le conférencier a répondu qu’il n’y a avait pas de difficultés ni de contraintes car il y avait un travail d’équipe et une coopération enter les journalistes.

Abdelilah EDGHOUGHI

Publicité
Publicité
17 novembre 2006

les droits de l'homme

Accueil ONU | HistoriqueDroits de l'homme | Ressources éducatives | Version texte

Déclaration universelle des droits de l'homme

Le 10 décembre 1948, les 58 Etats Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale ont adopté la Déclaration universelle des droits de l’homme à Paris au Palais de Chaillot (résolution 217 A (III)). Pour commémorer son adoption, la journée des droits de l'homme est célébrée chaque année le 10 décembre. Pour en savoir plus, lisez la rubrique consacrée à l'histoire de la Déclaration des droits de l'homme.

[Cliquez sur les photos pour voir un agrandissement. Les illustrations sont ont été réalisées par l'artiste brésilien Octavio Roth.]

Préambule

Article 1

Article 6

Article 11

Article 16

Article 21

Article 26

Article 2

Article 7

Article 12

Article 17

Article 22

Article 27

Article 3

Article 8

Article 13

Article 18

Article 23

Article 28

Article 4

Article 9

Article 14

Article 19

Article 24

Article 29

Article 5

Article 10

Article 15

Article 20

Article 25

Article 30

Préambule

UNlogoConsidérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme.

Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression.

Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations.

Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.

Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales.

Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.

L'Assemblée générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.

Article premier

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 2

1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

Article 3

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 4

Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Article 5

Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 6

Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

Article 7

Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8

Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

Article 9

Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

Article 10

Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

Article 11

1. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.

2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis.

Article 12

Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 13

1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat.

2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 14

1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.

2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 15

1. Tout individu a droit à une nationalité.

2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

Article 16

1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.

2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux.

3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

Article 17

1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.

2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété

Article 18

Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

Article 20

1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques.

2. Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.

Article 21

1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.

2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.

3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.

Article 22

Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23

1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.

3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.

4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

Article 24

Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 25

1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.

2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Article 26

1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.

2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.

3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.

Article 27

1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

Article 28

Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 29

1. L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seul le libre et plein développement de sa personnalité est possible.

2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.

3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 30

Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

Préparé par la Section du site Internet, Département de l'information © ONU
Ecrivez-nous si vous rencontrez des problèmes sur ce site

16 novembre 2006

le chômage

bourse_maroc_1_Le chômage est un problème  redoutable, c’est une vérité qu’il faudrait l’avouer.

On peut dire, qu’il y a deux facteurs qui sont à l’origine de ce fléau :

De prime abord, un système éducatif  qui ne répond pas à la demande du marché d’emploi.

De second abord, la moitié des habitants marocains est moins de trente ans.

Donc, il y a de la population active par rapport au marché d’emploi qui reste de sa part loin des attentes de cette population.

Certes il y a  des initiatives prometteuses de créer dix milles postes par ans dans le secteur public, mais en collaboration avec le secteur privé on peut relever le défi de diminuer le taux du chômage - qui reste entre 12% et 13% - à 08% en 2010.

Bien sur ce n’est pas suffisant, pour cela le gouvernement compte sur le privé ; autrement dit, elle a encouragé des investissements, facilité les procédures fiscales et encouragé les petites et moyennes entreprises, jusqu’à l’exonération fiscale de quelques entreprises à moyen ou à long terme.

Ce n’est pas facile pour que ces procédures tiendront leur promesse, parce qu’elles ne peuvent valoir qu’être manipulées et exploitées en fonction de divers paramètres à savoir :

Primo, le Maroc semble un marché prometteur.

Secundo, la stabilisation politique et la sécurité.

Bref, il y a un climat encourageant pour attirer les investissements à notre pays.

Publicité
Publicité
Publicité